Actualités de Labyrinthe-Kinésiologie La Réole (33190)

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Jeûne de remise en forme chez Labyrinthe-kinésiologie, Guy-Arnaud Pénet

jeûne de remise en forme, une expérience pour se sentir vivant

Jeûne de remise en forme chez Labyrinthe-kinésiologie, Guy-Arnaud Pénet
Jeûne de remise

Venez en stage de jeûne de remise en forme associé à la communication bienveillante.
Soyez proche de vous-même et des autres. Pour vous sentir renaître et vivant.

But du jeûne de remise en forme : se sentir renaître et vivant

Stage merveilleux qui associe une sensibilisation au bienfaits du jeûne. Il permet de comprendre les modalités d’entrée et de sortie d’un jeûne hydrique, ainsi que ses grands avantages pour le mieux-être et la remise en forme de l’organisme. Sachez qu’en trois jours de jeûne, le système immunitaire se réactive, que le foie se détoxique en profondeur, que l’organisme se régénère. Le jeûne s’utilise chez tous les êtres vivants pour régénérer l’organisme, et le nettoyer. Après trois jours de jeûne, vous vous sentez renaître et vivant plus que jamais.

Déroulement du jeûne de remise en forme

Pour cela, Stage associé à des exercices simples améliorant le bien-être, des marches, des relaxations. Un kinésiologue (Guy-Arnaud Pénet) et une médiatrice en communication bienveillante (Rose-Marie De Falco) encadrent la préparation avant le jeûne. Une consultation personnalisée est possible au préalable, ou on aborde les freins psychologiques au jeûne, la préparation des émonctoires (Foie, Peau, Vésicule biliaire, Rein, Tissu interstitiel, sang, lymphe) pour aborder le jeûne efficacement.

Lieu

Il se passe en Lot et Garonne, en pleine nature, prés de la forêt. Vous côtoierez les Querterre du lieu. L’ambiance y est paisible, et propice à un retour sur soi. Guy-Arnaud et Rose-Marie vous suivent tout au long de cette parenthèse avec bienveillance et empathie.

Les organisateurs du jeûne de remise en forme

Rose-Marie est médiatrice et spécialiste de la communication

bienveillant, elle pratique le jeûne depuis plus de trente ans. Elle est passionnée de plantes sauvages.

Guy-Arnaud est kinésiologue en adaptogénèse

depuis 10 ans, formé en adaptogénèse (une kinésiologie complète intégrant tous les systèmes et prenant en compte l’individu et son environnement de façon globale).

Il pratique le jeûne depuis plus de trente ans et a fait sont mémoire de fin de formation (1000h) de kinésiologue sur ce sujet. Ingénieur, il a quitté sa carrière pour s’intéresser au vivant, il est devenu plombier puis kinésiologue.

Jeûne de remise en forme : Consultation avant le jeûne au cabinet de kinésiologie-Adaptogénèse 7 rue Marcel Durrieu à la réole
jeûne de remise en forme :Reprise alimentaire-3eme jour
Reprise alimentaire-3eme jour

Pourquoi faire un jeûne de remise en forme

Pour faire une pause :

-Vous êtes en plein questionnement ou vous avez du mal à mettre du sens à ce que vous vivez. Le jeûne vous permet de faire le point et repartir avec plus d’entrain et de nouvelles idées.

Pour reprendre de l’énergie :

-Vous êtes fatigué, et sans énergie. Le jeûnes vous nettoie, et remets l’énergie en mouvement, vous repartez avec plein d’envie.

Pour retrouver du sens :

-Vous n’avancez plus, votre vie est terne. Le jeûne vous remet en selle, redonne du sens et vous donne la pêche.

Envoyez-nous un mail pour demander la fiche d’inscription du prochain stage

Labyrinthe-contact

N’hésitez pas à nous contacter pour tous renseignements

Programme et fiche d’inscription sur demande

Vidéo de présentation sur les stages :

jeûne de remise en forme : Se sentir renaître et vivant
La kinésiologie adaptogénèse avec labyrinthe-kinésiologie La Réole

La Kinésiologie adaptogénèse : pouvoir et efficacité en questions?

La kinésiologie adaptogénèse avec labyrinthe-kinésiologie Guy-Arnaud Pénet La Réole
La kinésiologie adaptogénèse avec labyrinthe-kinésiologie

Mais qu’es ce que c’est la kinésiologie Adaptogénèse???

J’ai toujours du mal à expliquer la kinésiologie, et à fortiori La kinésiologie adaptogénèse. La réduire au test musculaire seul est tellement faux. Essayons d’aller d’abord dans les grands principes de celle-ci.

  • La kinésiologie adaptogénèse est une technique globale, elle prend le compagnon dans sa totalité. Pour cela, elle le considère comme un ensemble de systèmes interagissants entre eux: système psychologique, physique, organique, énergétique, etc… Elle considère que ce compagnon fait partie également d’autres système : son environnement proche, son habitat, la nature,…, et encore au-delà est en interaction avec l’ensemble du connu et de l’inconnu.
  • La kinésiologie adaptogénèse est une technique non verbale. Les corrections effectuées sont toutes indiquées non pas par le discours du compagnon, mais par son corps. C’est donc le corps, et non le verbe qui détermine si ce qu’on lui fait est bon pour lui. Pour être efficace, il est donc impératif d’avoir un outil de décodage du corps et de ses stress qui soit efficace, c’est le test musculaire.
  • La kinésiologie adaptogénèse prend appuie sur le tonus musculaire qui indique tous stress que le corps ressent, et comme tous les systèmes interagissent entre eux, les stress peuvent provenir de n’importe quel systèmes. Il m’arrive de réaliser des corrections qui n’ont à priori rien à voir avec le sujet traité, et pourtant!!!!
    La kinésiologie adaptogénèse a, comme la kinésiologie une dimension éducative. Les protocoles sont tous structurés de la même manière :
  1. Je recherche et recrute le stress et je montre au corps qu’il est stressé (tonus musculaire faible)
  2. Je demande au corps ce dont il a besoin pour supprimer ce stress (parmi les 400 corrections étudiées)
  3. Je montre au corps comment faire pour retirer ce stress (en réalisant la correction)
  4. je montre au corps que ce que j’ai fait a supprimé le stress (tonus musculaire fort)

Cette façon de faire permet au corps de mémoriser et reproduire la correction par biofeedback (en faisant la différence entre l’avant et l’après).

De ce fait, la disposition du compagnon face à son problème et son désir de changer sont très importants. En effet, bien que la correction mémorisée dans le corps puisse être tout a fait efficace, si le compagnon n’est pas moteur, et acteur du changement opéré, l’automatisme initiateur du stress peut revenir très vite.

La kinésiologie adaptogénèse a donc un champ d’action beaucoup plus vaste que ce que l’on peut penser et dépend non pas du test musculaire proprement dit, mais de la pertinence de la correction effectuée, et sa tenue dans le temps. Le kinésiologue en adaptogénèse indique simplement le chemin le plus harmonieux pour que le compagnon se sente bien dans son quotidien et sa vie. C’est pour cela que j’utilise le nom de compagnon, comme les compagnons du tour de France qui parcouraient la France pour apprendre leurs métiers. Je suis Maître de compagnonnage. Les personnes qui viennent me voir sont des compagnons non pas du tour de France, mais du tour de leur vie.

Mais alors kinésiologie, et La kinésiologie adaptogénèse, quelles différences?

Aujourd’hui, la kinésiologie regroupe un ensemble de protocoles élaborés au cours du temps par des figures emblématiques:

  • George Goodheart pour le touch for health
  • Le brain gym et la kinésiologie éducative pour Paul Dennison
  • le concept 3×1 pour Gordon stockes et Daniel Webside
  • l’Applied kinesiologie pour Richard Utt
  • etc…

Tous ces courants ont été repris et réutilisés, regroupés et complétés dans un ou plusieurs domaines particuliers, formant une multitudes de courants, mais dont les bases sont toujours les mêmes.

La kinésiologie adaptogénèse reprend les postulats de base de la kinésiologie, et a essayé de définir l’ensemble des systèmes interagissant entre eux, pour créer un tout cohérent et pertinent.

Francis Vieules, son créateur et directeur de l’école de kinésiologie et d’Adaptogenèse EDUtm. indique, La kinésiologie Adaptogénèse est :

  • Une approche synthétique, globale et holistique plutôt qu’un syncrétisme de différentes techniques
  • Une recherche plus causale des déséquilibres pour obtenir des corrections durables ou définitives
  • Une attention accrue au respect du principe d’innocuité dicté par l’idéal hippocratique (Primum non nocere).

Quelques exemples d’application :

  • Consolider le « concept de soi » (confiance en soi, sentiment d’identité, sentiment de compétence, image de soi) ;
  • Réhabiliter sa capacité de choix et se libérer des attitudes d’auto-sabotage, afin d’avancer vers ses objectifs ;
  • Améliorer sa posture à travers l’approche des « Quatre Grands Déséquilibres » (qui regroupent près de 200 équilibrages) ;
  • Augmenter sa résistance physique et sa capacité de récupération
    grâce à l’intégration du schéma corporel (basé sur le concept des «
    clivages ») ;
  • Améliorer ses capacités d’apprentissage à travers la réintégration de réflexes dynamiques et posturaux.

Comme vous le voyez, La kinésiologie adaptogénèse ne se réduit pas au test musculaire et a des corrections juste psychologiques, elle est le fruit de la recherche de dizaines d’années et a pour but l’harmonie des systèmes inter dépendants qui nous animent.

A très bientôt

be Happy

Pour prendre rendez-vous : labyrinthe-kinesiologie.fr

La meilleure façon de manger avec labyrinthe-kinésiologie La Réole, Guy-Arnaud Pénet

La façon de manger harmonieuse et efficace

La meilleure façon de manger avec labyrinthe-kinésiologie La Réole, Guy-Arnaud Pénet
Meilleure façon de manger avec Guy-Arnaud Pénet kinésiologue

texte de la chronique radio entre deux mers RE2M Comment mangeons-nous?

Façon de manger avec labyrinthe-kinésiologie La réole

Aujourd’hui, je vais vous parler de la façon de manger, qui est tout aussi importante que ce que l’on met dans son assiette. Manger, ce n’est pas simplement se remplir l’estomac, c’est aussi un acte de bien-être et de connexion avec soi. Alors, comment bien manger ? Pas de panique, je ne vous demanderai pas de réciter des mantras entre chaque bouchée, mais je vous promets que quelques gestes simples peuvent vraiment tout changer.

Conséquences d’une Mauvaise façon de Manger avec labyrinthe-kinésiologie La réole

Une mauvaise façon de manger peut avoir des conséquences sur notre santé physique et mentale. Manger trop vite, sans prendre le temps de mâcher correctement, surcharge notre système digestif, ce qui peut entraîner des problèmes de digestion, des ballonnements, voire des carences nutritionnelles. De plus, manger en mode « pilote automatique » devant la télévision ou l’ordinateur nous déconnecte de nos sensations de faim et de satiété, ce qui peut favoriser une surconsommation d’aliments et des problèmes de poids. Le stress, souvent présent lors de repas pris rapidement ou dans un environnement non apaisant, peut également nuire à notre digestion et à notre bien-être général. De plus, une mauvaise façon de manger peut contribuer à l’inflammation de bas grade, une condition chronique souvent liée à des maladies métaboliques, des douleurs articulaires et un affaiblissement du système immunitaire.

Adopter une Bonne Façon de Manger avec labyrinthe-kinésiologie La réole

Premièrement, prenons notre temps. On vit dans un monde où tout va vite, mais si on peut bien ralentir pour quelque chose, c’est pour manger. Il est recommandé de consacrer au moins 20 à 30 minutes à chaque repas, afin de permettre une bonne digestion et d’éviter de manger trop rapidement. Imaginez chaque repas comme une pause méritée, un moment à savourer. En prenant le temps de bien mâcher chaque bouchée, non seulement vous aidez votre estomac à mieux digérer, mais vous donnez aussi une chance à vos papilles de se régaler pleinement. Mâcher correctement favorise l’assimilation des nutriments et évite les problèmes digestifs. Chaque bouchée est une opportunité de savourer, alors prenons le temps de l’apprécier.

Ensuite, essayons de manger en pleine conscience. Cela signifie éviter de manger en régime « pilote automatique », c’est-à-dire devant la télé, l’ordinateur ou tout autre écran. Prenons le temps de nous déconnecter et de nous reconnecter à ce que nous avons dans l’assiette. Observez les couleurs, ressentez les odeurs, et concentrez-vous sur les saveurs. Manger en pleine conscience, c’est être présent à chaque bouchée et, par conséquent, mieux répondre aux besoins de notre corps. Le cerveau met environ vingt minutes à recevoir le signal de satiété, donc manger doucement aide à éviter de trop manger. Moins de « binge-eating », plus de plaisirs.

Une autre astuce est de créer un environnement propice au repas. Cela peut paraître évident, mais le cadre dans lequel on mange a une grande influence sur notre façon de manger. Si vous mangez rapidement, debout dans la cuisine, vous ne profiterez pas de votre repas et risquez de consommer plus que nécessaire. Installez-vous confortablement, mettez une musique douce si vous le souhaitez, ou pourquoi pas, allumez une bougie. Créez une atmosphère apaisante et consacrez ce moment à vous et à votre bien-être. Cela permet de transformer le simple fait de manger en un véritable rituel de soin de soi.

L’eau, parlons-en aussi. Accompagner son repas d’un verre d’eau est un choix tout simple qui fait une grande différence. Contrairement aux sodas ou aux boissons sucrées qui surchargent notre organisme, l’eau hydrate en douceur et favorise une bonne digestion. C’est le compagnon idéal pour tout repas. Une petite gorgée entre chaque bouchée aide à avaler et à rester à l’écoute de sa faim.

Enfin, écoutons notre corps. Notre corps est un expert à part entière, il sait ce dont il a besoin et quand il n’a plus faim. Manger jusqu’à la satiété est un art, mais surtout une question d’écoute. Pour cela, prêtez attention aux signes que votre corps vous envoie. Lorsque vous commencez à ressentir une sensation de satiété, arrêtez de manger, même s’il reste encore de la nourriture dans votre assiette. Ce n’est pas une course, et on ne gagne rien à finir son assiette si notre corps n’en a plus besoin.

Conclusion pour une bonne façon de manger

En conclusion, bien manger, c’est bien plus que ce qu’on met dans son assiette. C’est aussi se créer un moment de bien-être, savourer chaque bouchée, et écouter son corps. Une mauvaise façon de manger peut nuire à notre santé, mais en apportant des ajustements simples, nous pouvons transformer nos repas en moments de plaisir et de soin de soi. Cela demande un peu de pratique, de patience, et de ferme détermination, mais les résultats sont souvent à la hauteur des efforts fournis. Prenons soin de nous, et adoptons une bonne façon de manger, parce qu’après tout, il n’y a rien de mieux qu’un repas qui nourrit non seulement le corps, mais aussi l’esprit. Et n’oubliez pas, n’hésitez pas à vous faire aider.

Pour prendre rendez-vous : https://labyrinthe-kinesiologie.fr/

Be Happy.

Le meilleur petit déjeuner labyrinthe_kinésiologie.fr

Le meilleur petit déjeuner labyrinthe-kinésiologie La Réole (33190)

Le meilleur petit déjeuner labyrinthe_kinésiologie.fr
Le meilleur petit déjeuner

Bonjour à toutes et à tous, et Be Happy. Guy-Arnaud Pénet, kinésiologue à La Réole. Mon travail consiste à accompagner les personnes dans des moments clés de leur vie, et à les guider vers un mieux-être. Cet article est tiré d’une chronique passée sur RE2M : Le petit déjeuner, notre super héros

Le meilleur petit déjeuner, mon super-héros du matin !

Bonjour à tous ! Aujourd’hui, on va parler du petit déjeuner, ce fameux repas du matin qui a tendance à être négligé par beaucoup d’entre nous. Pourtant, ce repas est crucial pour démarrer la journée du bon pied. Oui, vous avez bien entendu, le petit déjeuner, c’est mon super-héros du matin !

Ce qu’il ne faut pas faire et les conséquences

Commençons par ce qu’il ne faut surtout pas faire : sauter le petit déjeuner ou se contenter de produits ultra-sucrés. Vous savez, ces petites bombes caloriques comme les viennoiseries, les céréales sucrées ou les jus de fruits industriels qui nous tentent dès qu’on passe devant une boulangerie ou qu’on ouvre le placard. Ces aliments provoquent une montée rapide de la glycémie, suivie d’une chute tout aussi rapide, vous laissant fatigué, irritable et affamé bien avant l’heure du déjeuner. Bref, c’est comme envoyer un super-héros sans entraînement dans la bataille, ça ne tient pas longtemps !

Alors, que faire pour ce meilleur petit déjeuner ?

pour éviter ces pièges et donner à votre petit déjeuner l’équilibre qu’il mérite ? Voici quelques astuces simples mais efficaces :

  • Équilibre entre les Macronutriments :

Pour un meilleur petit déjeuner digne de ce nom, optez pour une combinaison de protéines, de glucides complexes et de graisses saines. Les protéines comme les œufs, le yaourt grec ou les noix vous apportent une énergie durable. Les glucides complexes, présents dans les flocons d’avoine ou le pain complet, libèrent lentement leur énergie, et les graisses saines (avocats, graines de chia) vous aident à vous sentir rassasié plus longtemps.

  • L’organisation est la clé !

Préparez votre meilleur petit déjeuner la veille pour gagner du temps le matin. Vous pouvez préparer vos flocons d’avoine en « overnight oats », cuire des œufs durs à l’avance ou même mettre tous les ingrédients pour un smoothie dans le mixeur, prêts à être blendés. Avec un peu de préparation, le matin devient moins stressant et plus agréable.

  • Planifiez vos petits déjeuners pour la semaine :

Prendre quelques minutes le dimanche pour planifier vos repas peut faire toute la différence. Alternez entre des options comme un smoothie, des œufs brouillés, ou un yaourt aux fruits pour varier les plaisirs et ne jamais vous lasser. Une bonne planification vous assure de ne jamais manquer d’inspiration ni de bons ingrédients !

  • Limitez le sucre ajouté et restez hydraté :

Commencez la journée avec un grand verre d’eau ou une infusion pour réveiller votre corps en douceur. Et si vous êtes amateur de thé ou de café, profitez-en, mais sans sucre.

Conclusion

En résumé, un meilleur petit déjeuner équilibré bien préparé est votre super-héros du matin. Il vous donne l’énergie et la concentration dont vous avez besoin pour affronter la journée avec succès. Alors, la prochaine fois que vous hésitez entre sauter le petit déjeuner ou croquer un pain au chocolat en vitesse, souvenez-vous : donnez à votre petit déjeuner ce dont il a besoin pour combattre la fatigue et maintenir votre énergie.

Prenez le temps de planifier et de préparer, et votre matinée n’en sera que plus agréable ! Bonne journée à tous, et surtout, bon appétit !

Be Happy

Et n’hésitez pas à me contacter pour des conseils : labyrinthe-kinésiologie.fr

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Sylvie, 40ans n’arrive pas à avoir d’enfants!

En 2018, Sylvie 40ans vient me voir pour un désir d’enfant qu’elle n’arrive pas
à avoir, et pour cause :
Elle a commencé ses démarches en 2014 par des stimulations ovariennes
simples qui n’ont rien données. Puis en est venue aux FIV directement, pas d’insémination
car elle a une endométriose diagnostiquée. Les 4 FIV autorisées par la loi ont
été effectuées dans deux hôpitaux de Bordeaux. Pour l’endométriose, deux
cœlioscopies ont été faites, avec ponction des kystes la première fois sans
résultats. Sylvie a ensuite interrogé des spécialistes de l’endométriose qui
l’ont opéré et mis sous decapeptyl pendant 6 mois (médicament déclenchant
une ménopause artificielle, donné également lors de cancer des testicules et
de la prostate, effets secondaires sévères, ce qui a diminué voir supprimé
l’endométriose.
Suit toutes une série d’opérations et stimulations ovariennes infructueuses.
Son médecin lui dit alors qu’elle ne pourra jamais avoir d’enfants.
J’interviens entre la deuxième et la dernière FIV. Sylvie est désespérée, étant
venu à une de mes conférences, elle vient me voir.

Je lui fait 3 séances à un mois d’intervalle en travaillant sur ses peurs d’être enceinte, active quelques points de méridiens en acupressure, et lui fait trois protocoles spécifiques de kinésiologie.

A la 3 ème séance,
Son beau frère vient d’avoir un bébé, ce qui lui a déclenché une crise de
désespoir. Nous travaillons sur la frustration et la colère
Je finis par des conseils en nutrition et lui donne un complément alimentaire
MTC à prendre pendant l’ovulation pour la stimuler.


Je n’ai plus de nouvelle de Sylvie pendant un an, puis je reçois un message par
les réseaux sociaux et une photo de sa première fille en 2019. Elle m’explique
que la dernière FIV n’a pas fonctionné, mais a réussie à être enceinte
naturellement avec un accouchement tout à fait normal. Cette année elle a
mis au monde un fils qui se porte à merveille,

qui l’eut cru !!!!

Bien manger avec labyrinthe-kinésiologie à La Réole et Guy-Arnaud Pénet kinbésiologue

Comment réussir à bien s’alimenter

Bien manger avec labyrinthe-kinésiologie à La Réole et Guy-Arnaud Pénet kinbésiologue
Bien manger

Le Harvard Medical School, faculté prestigieuse de médecine Américaine, mais aussi bon nombre d’études, et de scientifiques livrent une analyse chiffrée et pertinente des dérives alimentaires actuelles.

Comme le montre les films :

L’excès de graisses animales, de sucres ajoutés, de calories,…induisent inévitablement des pathologies qui peuvent facilement se corriger par une remise en cause alimentaire.

Pour ma part, je considère l’alimentation comme une affaire personnelle qui n’est pas histoire de régime. Changer d’alimentation est un long, lent et continue processus qui demande une transformation intérieure et une détermination profonde.

Les grands principes en matière d’alimentation :

Au niveau de sa posture

  1. Se faire plaisir tout en respectant l’ensemble des principes.
  2. Écouter son corps, et pas seulement sa tête.
  3. Essayer avant de pratiquer, expérimenter avant d’adopter.
  4. Respecter les règles qu’on se donne avec une ferme détermination sans culpabiliser en cas d’écart. (Rester doux avec vous-même)
  5. Manger à satiété, mais pas plus.

Au niveau de l’alimentation

  1. Le moins possible de produits industriels et transformés. (Aliments frais, peu chauffés (40 à 60°)
  2. Des aliments vivants chaque jour : fruits, légumes, graines, etc…
  3. Le moins possible de graisse animale à l’origine de pathologie cardiovasculaire.
  4. Diversifier en découvrant de nouveaux aliments : Céréales (complètes), légumineuses, aromates, plantes, etc…
  5. Varier les sources de protéines en privilégiant les protéines végétales.
  6. Manger les fruits et oléagineux en dehors des repas.
  7. Limiter les sucres artificiels et le sel.
  8. S’hydrater correctement.
  9. En cas de difficulté, ne pas hésiter à se faire aider (par un kinésiologue par exemple).

Bien s’alimenter, c’est se découvrir chaque jour un peu plus.

Bien s’alimenter c’est s’aimer et aimer sa vie.

Bien s’alimenter, c’est aimer le monde qui nous entoure et le respecter.

Be Happy

Guy-Arnaud Pénet, kinésiologue

Pour prendre rendez-vous : Labyrinthe-kinésiologie

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Le jeûne de réjuvénation biphasique

arnaud souriant c

Jeûne de réjuvénation biphasique détox et régénération est un jeûne long partiel détox de quinze jours élaboré par l’école de kinésiologie Edu TM. Il a fait l’objet de plusieurs mémoires au sein de l’école. Il se compose de deux phases comme son nom l’indique :

  • Une phase de détox
  • Une phase de régénération

Pendant la première phase, deux prises alimentaires par jour sont effectuées (soupe hippocratique). Une stimulation des émonctoire est réalisée par des exercices doux, et des séances de HAMMAM. Des marches sont organisées tous les jours.

Au terme de cette période, le corps, afin de se régénérer, a besoin d’un repos complet de sept jours pendant lequel deux prises alimentaires sont effectuées (un fruit par jour).

Tout au long du processus, des compléments alimentaires choisis (vitamines et oligo-éléments) sont pris de manière régulière.

La préparation se fait un mois précédant le début par une séance de kinésiologie-adaptogénèse permettant de préparer les émonctoires.

La reprise alimentaire est stricte et dure deux mois avec réintroduction au fur et à mesure des aliments.

Ce processus se réalise en immersion, de façon à ne pas être perturbé par les tracas du quotidien.

Ce type de jeûne peut être scindé en deux parties. Il est tout à fait possible de ne réaliser que la première partie.

Le 11 octobre 2019, j’ai passé avec succès mon mémoire sur le jeûne, on y parle du jeûne en général, mais aussi du jeûne de régénération. Il montre ces deux phases pour des jeûnes supérieurs à sept jours.

J’organise des jeûne biphasique de régénération dans le Lot et Garonne au centre le miel et l’eau. Le nombre de participant minimum est de 10. Si ce type de jeûne vous intéresse, inscrivez-vous en m’envoyant un mail. Dès le nombre requis atteint, je programmerais une date.

Pour tous renseignements ou inscriptions, contactez-moi sur mon site https://labyrinthe-kinesiologie.fr

Méditation et préparation à l’hiver avec labyrinthe-kinesiologie et Guy-Arnaud Pénet

Méditation et préparation à l’hiver : ralentir pour mieux renaître

Méditation et préparation à l’hiver avec labyrinthe-kinesiologie et Guy-Arnaud Pénet
Méditation et préparation à l’hiver

La méditation et préparation à l’hiver sont deux alliées précieuses pour traverser cette période de transition entre l’automne et la saison froide.
En novembre, la nature ralentit, les jours raccourcissent, et notre organisme nous invite, lui aussi, à lever le pied.
Ce n’est pas encore l’hiver, mais déjà, l’énergie se transforme.
Et si nous apprenions à suivre ce rythme naturel, plutôt qu’à le combattre ?

Méditation et préparation à l’hiver : Le corps suit les saisons

Notre organisme, comme la nature, fonctionne en cycles.
Au cœur de l’automne, quand la lumière décline, notre corps commence à modifier son rythme.
Les hormones du sommeil, comme la mélatonine, augmentent naturellement, et l’envie de se reposer se fait sentir.


Mais nos obligations modernes — travail, écrans, rythme effréné — nous poussent à ignorer ces signaux.Résultat : fatigue, irritabilité, sommeil plus léger, et parfois une impression de “baisser les bras”.
Pourtant, cette lenteur n’est pas une faiblesse.
C’est une intelligence biologique : le corps nous invite à économiser notre énergie avant l’hiver, à revenir vers l’essentiel.

Méditation et préparation à l’hiver :Méditer pour retrouver son rythme intérieur

La méditation et la préparation à l’hiver sont une alliance naturelle.
Quand on médite, on ne cherche pas à faire le vide, mais à observer — son souffle, ses pensées, ses émotions.
C’est un moment d’écoute intérieure, une manière de ramener le calme là où tout s’agite.

Quelques minutes par jour suffisent pour sentir les effets :

  • le souffle s’allonge,
  • le rythme cardiaque s’apaise,
  • les tensions s’allègent,
  • l’esprit se clarifie.

Ce recentrage progressif permet d’adapter le corps à la saison.
Méditer, c’est comme ajuster son thermostat intérieur : on apaise ce qui bouillonne, on réchauffe ce qui se fige.
C’est aussi une forme de prévention naturelle, car un système nerveux apaisé prépare mieux l’organisme aux changements de température et à la baisse de lumière.

Méditation et préparation à l’hiver : Méditation et kinésiologie

En kinésiologie, on apprend à écouter le langage du corps.
Chaque tension, chaque inconfort, chaque émotion refoulée est un message.
Grâce au test musculaire, on identifie les déséquilibres et on libère les blocages énergétiques qui empêchent l’harmonie.

La méditation, elle, agit en amont :
elle développe la conscience de ce que l’on ressent avant même que le corps ne tire la sonnette d’alarme.
Les deux approches se complètent à merveille :

  • la kinésiologie aide à relâcher ce qui est déjà figé,
  • la méditation apprend à ne plus accumuler ces tensions.

C’est une synergie puissante pour retrouver un équilibre durable entre corps, mental et émotions.

Méditation et préparation à l’hiver : Se préparer à l’hiver en douceur

En novembre, la nature prépare ses racines.
Sous la surface, la vie continue — invisible mais bien présente.
C’est la même chose en nous : ce moment de ralentissement est une invitation à nourrir notre énergie intérieure.

Quelques gestes simples peuvent accompagner cette transition :

  • marcher dans la nature pour synchroniser son rythme,
  • respirer profondément quelques minutes chaque jour,
  • méditer au réveil ou avant de dormir,
  • privilégier les repas chauds et réconfortants,
  • et se coucher un peu plus tôt.

Ces habitudes ancrent le calme et la régénération — deux piliers essentiels pour affronter l’hiver avec vitalité.

Méditation et préparation à l’hiver : Revenir à soi pour mieux avancer

La méditation et la préparation à l’hiver ne sont pas des pratiques de retrait, mais d’équilibre.
Elles nous ramènent à notre rythme naturel, là où l’énergie circule sans tension.
L’automne avancé n’est pas la fin d’un cycle, c’est le début d’un mouvement intérieur, celui qui précède le renouveau.

Alors, au lieu de lutter contre la fatigue ou la baisse d’énergie,
et si vous écoutiez simplement votre corps ?
C’est souvent lui qui sait le mieux quand il est temps de ralentir.

Et n’oubliez pas : si vous souhaitez retrouver votre équilibre intérieur, contactez-moi sur labyrinthe-kinésiologie.fr

pour démarrer la méditation : méditation débutante

Emotions et bien-être physique avec labyrinthe-kinésiologie.fr et Guy-Arnaud Pénet

Émotions et bien-être physique : quand le corps parle à travers nos ressentis

Emotions et bien-être physique avec labyrinthe-kinésiologie.fr et Guy-Arnaud Pénet
Emotions et bien-être physique

On croit souvent que les émotions n’appartiennent qu’au domaine du psychologique. Pourtant, le corps et l’esprit sont intimement liés. Ce que nous ressentons, nous le vivons aussi dans nos cellules, nos muscles et nos organes.
Comprendre le lien entre émotions et bien-être physique, c’est redonner au corps sa juste place dans notre équilibre intérieur.

Les émotions, un langage biologique

Une émotion n’est pas seulement une réaction psychologique. C’est un véritable mouvement énergétique et chimique dans le corps.
À chaque émotion, notre cerveau libère des molécules messagères — hormones, neurotransmetteurs, signaux électriques — qui influencent nos organes et nos tissus.

La peur accélère le cœur et contracte les muscles.
La colère fait monter la tension et active le foie.
La tristesse ralentit la respiration et peut peser sur le système immunitaire.
À l’inverse, la gratitude, la joie ou la bienveillance libèrent de la sérotonine et de l’ocytocine, apaisant ainsi le système nerveux.

Ainsi, émotions et bien-être physique sont indissociables : chaque émotion crée une chimie particulière dans le corps.

Quand les émotions ne s’expriment pas

Dans notre société, on apprend très tôt à “tenir bon”, à ne pas pleurer, à ne pas se mettre en colère, à rester fort. Résultat : beaucoup d’émotions restent coincées à l’intérieur.
Le mental croit les avoir oubliées, mais le corps, lui, s’en souvient.

Une émotion non exprimée, c’est une information bloquée. Elle continue de vibrer sous la surface et se manifeste souvent autrement : une tension musculaire, une douleur récurrente, un trouble digestif, des migraines, une fatigue inexpliquée.

On pourrait dire que le corps parle quand les mots n’ont pas pu sortir.
Ignorer ce langage, c’est laisser s’installer des déséquilibres.
Au contraire, apprendre à écouter la relation entre émotions et bien-être physique, c’est comprendre que chaque malaise est un message, non une menace.

Le rôle de la kinésiologie : écouter ce que le corps veut dire

La kinésiologie repose sur un principe simple : le corps garde la mémoire de tout ce que nous avons vécu.
Grâce au test musculaire, le praticien dialogue directement avec le corps. Il identifie quelles émotions sont encore actives, à quel moment elles se sont installées, et dans quelle zone du corps elles se manifestent.

C’est un outil de communication subtile entre la conscience et la biologie.
Quand une émotion est reconnue et libérée, le corps relâche la tension associée. La respiration se dénoue, l’énergie circule à nouveau.
En d’autres termes, la kinésiologie rétablit la cohérence entre émotions et bien-être physique.

La déprogrammation cellulaire permet d’aller encore plus loin : elle aide à libérer les mémoires profondes inscrites dans les cellules, souvent héritées ou répétitives, pour permettre au corps de réécrire son propre équilibre.

L’équilibre émotionnel, clé de la santé globale

Les travaux de chercheurs comme Joe Dispenza ou Bruce Lipton ont montré que nos pensées et nos émotions influencent directement notre biologie.
Entretenir des émotions positives, de la gratitude ou de la sérénité, ce n’est pas de la psychologie “positive”, c’est un acte physiologique. Cela change la chimie du corps, réduit le stress oxydatif, améliore le sommeil, renforce l’immunité.

En kinésiologie, on observe chaque jour cette vérité : quand une émotion se libère, le corps retrouve sa capacité naturelle d’auto-régulation.

Prendre soin de sa santé, ce n’est donc pas seulement bien s’alimenter ou bien dormir.
C’est aussi apprendre à écouter le langage des émotions, à accueillir ce que l’on ressent, et à comprendre que nos ressentis façonnent notre état physique.

En conclusion sur émotions et bien-être physique

Nos émotions ne sont pas nos ennemies.
Elles sont le reflet de notre équilibre intérieur et des messages de vie que le corps cherche à nous transmettre.
Réconcilier émotions et bien-être physique, c’est se donner la possibilité de guérir en profondeur, pas seulement de soulager les symptômes.

Et n’oubliez pas : si vous souhaitez apprendre à décoder vos émotions, à libérer les mémoires inscrites dans votre corps et à retrouver votre équilibre, contactez-moi sur labyrinthe-kinésiologie.fr.

autre lecture : Impact des émotions sur le corps


méditation ecouter son corps avec labyrinthe_kinésiologie et Guy-Arnaud Pénet

Écouter son corps : comprendre les messages merveilleux que nous envoie notre organisme

méditation ecouter son corps avec labyrinthe_kinésiologie et Guy-Arnaud Pénet
Ecouter son corps

On apprend à écouter les autres, à écouter la société, parfois même à écouter notre mental… mais rarement à écouter son corps. Pourtant, c’est lui qui nous parle en premier, bien avant les mots.
Chaque tension, chaque douleur, chaque fatigue a quelque chose à nous dire. Le corps est notre messager le plus fidèle, encore faut-il savoir l’entendre.

Le corps, ce grand oublié de la communication intérieure

Notre rythme de vie moderne nous pousse à ignorer les signaux du corps. Une douleur ? On prend un antidouleur. Une fatigue ? Un café. Une émotion ? On la met de côté.
Mais le corps, lui, continue de parler. Et plus on le fait taire, plus il élève la voix.

Écouter son corps, c’est comprendre que la douleur n’est pas une punition, mais une information.
Une tension dans le dos peut signaler un poids émotionnel trop lourd.
Un trouble digestif peut être le reflet d’une émotion “mal digérée”.
Un épuisement chronique peut révéler une surcharge mentale ou une difficulté à poser des limites.

Le corps ne ment jamais. Il n’invente rien. Il manifeste, à sa manière, ce que nous avons parfois oublié de reconnaître en nous.

Les symptômes, une boussole plutôt qu’un problème

Plutôt que de combattre un symptôme, écouter son corps consiste à se demander :

“Qu’est-ce que mon corps cherche à me dire ?”

En changeant de regard, on cesse de subir ses maux pour en faire des alliés.
Le corps devient une boussole qui nous guide vers ce qui a besoin d’être rééquilibré.
Car derrière chaque douleur, il y a souvent un message de retour à la vie, un besoin de pause, de respiration ou de recentrage.

La médecine conventionnelle soigne le corps physique ; la kinésiologie, elle, aide à traduire son langage émotionnel. Les deux sont complémentaires. L’une agit sur la matière, l’autre sur l’énergie et la conscience. Ensemble, elles participent à la guérison globale.

La kinésiologie : le dialogue direct avec le corps

En kinésiologie, on utilise le test musculaire comme un outil de communication.
Un muscle qui se bloque ou se relâche nous indique ce que le corps accepte ou refuse.
C’est une manière d’écouter son corps sans passer par le mental, qui juge, interprète ou minimise.

Ce test permet d’accéder à des mémoires anciennes, à des émotions refoulées ou à des croyances limitantes qui influencent notre santé.
La déprogrammation cellulaire consiste alors à libérer ces mémoires pour que le corps retrouve son équilibre naturel.
En libérant une charge émotionnelle, on change littéralement le message que le corps envoie à ses cellules ; on modifie son information, sa vibration, sa biologie.

Quand la conscience guérit le corps

Des auteurs comme Joe Dispenza ou Bruce Lipton ont popularisé cette idée : la conscience influence la biologie.
Lorsque nous changeons nos pensées et nos émotions, nous envoyons de nouveaux signaux à nos cellules.
Écouter son corps, c’est déjà amorcer ce changement de conscience.
C’est choisir de collaborer avec soi-même plutôt que de lutter contre ses sensations.

Cette écoute attentive rétablit la cohérence entre le corps, le cœur et l’esprit.
Elle favorise la détente du système nerveux, améliore le sommeil, soutient l’immunité et restaure la vitalité.
Le corps devient alors un véritable partenaire de transformation intérieure.

En conclusion

Écouter son corps, c’est réapprendre à dialoguer avec soi-même.
C’est comprendre que derrière chaque tension se cache une émotion, un besoin ou une vérité que l’on n’a pas encore entendue.
Le corps n’est pas un problème à résoudre, c’est un messager bienveillant qui cherche à nous ramener vers l’équilibre.

Alors, la prochaine fois qu’un symptôme se manifeste, au lieu de le fuir, posez-vous la question :

“Et si c’était une invitation à revenir à moi ?”

Et n’oubliez pas : si vous voulez de l’aide pour apprendre à écouter votre corps et retrouver votre équilibre, contactez-moi sur labyrinthe-kinésiologie.fr.

psychologie : Ecouter son corps

Épigénétique et kinésiologie avec labyrinthe-kinésiologie, Guy-Arnaud Pénet

Épigénétique et kinésiologie : transformer sa vie en changeant l’information du corps

Épigénétique et kinésiologie avec labyrinthe-kinésiologie, Guy-Arnaud Pénet
Épigénétique et kinésiologie

Pendant longtemps, on a cru que nos gènes décidaient de tout : notre santé, notre caractère, nos forces et nos faiblesses. Pourtant, la science moderne a ouvert une porte fascinante : celle de l’épigénétique et kinésiologie, deux approches qui montrent qu’il est possible d’influencer le corps en agissant sur la conscience, les émotions et l’énergie.

L’épigénétique, une nouvelle vision du vivant

L’épigénétique démontre que nos gènes ne sont pas une fatalité.
Ils peuvent s’activer ou se désactiver selon l’environnement, le mode de vie, le stress, les pensées ou les émotions. En d’autres termes, ce n’est pas uniquement notre ADN qui décide de notre santé, mais la façon dont nous vivons.

Chaque pensée, chaque émotion, chaque habitude envoie une information chimique au corps. Si nous répétons les mêmes schémas émotionnels, nous entretenons les mêmes circuits neuronaux, et donc les mêmes réactions biologiques. Joe Dispenza, dans Le placebo, c’est vous, illustre ce phénomène : nos pensées peuvent conditionner notre biologie, et changer nos pensées peut la transformer.

C’est ici que le lien entre épigénétique et kinésiologie devient évident. Si l’épigénétique montre que la conscience influence la matière, la kinésiologie propose un outil concret pour aller à la rencontre de cette conscience cellulaire.

Kinésiologie et déprogrammation cellulaire : agir à la source

La kinésiologie part d’un principe simple : le corps garde la mémoire de tout.
Les émotions vécues, les traumatismes, les croyances limitantes s’inscrivent dans les cellules sous forme d’informations énergétiques. Parfois, ces mémoires continuent à influencer nos comportements, nos réactions ou notre santé, même des années après les événements.

La déprogrammation cellulaire, issue de la kinésiologie, permet justement d’identifier et de libérer ces mémoires.
Grâce au test musculaire, on accède directement au langage du corps : on dialogue avec l’inconscient biologique.
Ce processus met en lumière les stress enfouis et les croyances inconscientes qui bloquent le changement. Une fois ces programmes identifiés, on peut les “désactiver” et reprogrammer le corps avec une nouvelle information, plus adaptée au présent.

C’est une forme appliquée d’épigénétique et de kinésiologie : en changeant le message envoyé aux cellules, on modifie la réponse biologique.

Épigénétique et kinésiologie :L’esprit et le corps parlent le même langage

Joe Dispenza l’explique très bien : la méditation consciente permet de changer les signaux que le cerveau envoie au corps.
En cultivant des émotions élevées – gratitude, joie, paix – on stimule les circuits neuronaux de la guérison et de la régénération.

La kinésiologie agit dans la même direction, mais par le biais du corps. Là où la méditation modifie la conscience par la pensée, la kinésiologie modifie la conscience par la sensation.
Dans les deux cas, on harmonise le système nerveux, on calme le stress, on rétablit la cohérence entre le mental, le corps et l’émotionnel.

Ce rééquilibrage favorise des changements durables dans l’expression des gènes : une meilleure immunité, plus d’énergie, une récupération plus rapide, un état d’esprit plus stable.

Ainsi, épigénétique et kinésiologie se rejoignent pour nous rappeler que nous ne sommes pas prisonniers de notre héritage biologique. Nous pouvons transformer notre réalité en transformant notre vibration intérieure.

Épigénétique et kinésiologie : Reprendre le pouvoir sur sa santé

Choisir consciemment ses pensées, ses émotions, son alimentation, son environnement ou son rythme de vie, c’est déjà influencer ses gènes.
La kinésiologie, par sa dimension corporelle et énergétique, offre un accès direct à cette reprogrammation : elle aide à libérer le passé pour créer un nouveau présent.

En combinant épigénétique et kinésiologie, nous disposons d’un formidable levier de transformation : la possibilité d’être pleinement acteurs de notre santé, de notre équilibre et de notre évolution intérieure.

Et n’oubliez pas : si vous souhaitez explorer comment votre corps peut redevenir un allié dans ce changement, contactez-moi sur labyrinthe-kinésiologie.fr.

article : Épigénétique et émotions

sommeil réparateur avec labyrinthe-kinésioloàgie et Guy-Arnaud Pénet

Retrouver un sommeil réparateur efficace après la rentrée

sommeil réparateur avec labyrinthe-kinésioloàgie et Guy-Arnaud Pénet
sommeil réparateur

Le sommeil est l’un des piliers de notre santé, et pourtant il est souvent négligé, surtout chez les adolescents. Avec la rentrée, les changements de rythme, la charge scolaire et les sollicitations multiples, beaucoup de jeunes – et leurs parents – se retrouvent confrontés à des difficultés d’endormissement. Retrouver un sommeil réparateur devient alors un enjeu essentiel, non seulement pour la réussite scolaire, mais aussi pour le bien-être global.

Pourquoi le sommeil est-il si important ?

Le sommeil n’est pas une simple pause. C’est une phase active où le corps et le cerveau accomplissent de nombreuses fonctions vitales :

  • consolidation de la mémoire et des apprentissages,
  • régulation des émotions,
  • sécrétion d’hormones de croissance et de réparation,
  • renforcement du système immunitaire.

Un sommeil réparateur permet à l’enfant ou à l’adolescent de se lever en forme, avec de l’énergie et une capacité de concentration optimale. À l’inverse, un sommeil perturbé entraîne fatigue, irritabilité, baisse de l’attention et même une plus grande vulnérabilité au stress.

Les difficultés d’endormissement : un problème fréquent

À l’adolescence, l’horloge biologique se décale naturellement. Les jeunes ont tendance à se coucher plus tard et à avoir du mal à s’endormir tôt. Ajoutons à cela les écrans, les devoirs tardifs ou le stress des évaluations, et l’endormissement devient un vrai défi. Résultat : les nuits sont trop courtes, et le sommeil réparateur n’a pas le temps de s’installer.

Parmi les causes les plus courantes des difficultés d’endormissement, on trouve :

  • l’utilisation d’écrans avant de dormir, qui retardent la sécrétion de mélatonine,
  • une activité intellectuelle trop stimulante juste avant le coucher,
  • des horaires irréguliers entre semaine et week-end,
  • une alimentation trop riche en sucre le soir, qui perturbe la stabilité de l’énergie.

Mais il existe aussi des causes auxquelles on pense moins. Par exemple, la présence de parasites intestinaux peut perturber le sommeil, surtout chez les enfants. Se vermifuger régulièrement, notamment lorsqu’on a des animaux à la maison, peut nettement améliorer la qualité des nuits. Des réveils nocturnes, des grincements de dents ou une agitation inexpliquée peuvent parfois trouver leur origine dans ce type de déséquilibre. C’est une piste simple mais souvent négligée quand on cherche à retrouver un sommeil réparateur.

Comment retrouver un rythme adapté ?

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions simples pour améliorer la qualité du sommeil :

  1. Respecter des horaires réguliers : se lever et se coucher à des heures proches, y compris le week-end, aide l’organisme à retrouver un rythme naturel.
  2. Instaurer une routine du soir : lecture, musique douce, exercices de respiration ou de relaxation. Ces habitudes envoient un signal clair au corps : “il est temps de ralentir”.
  3. Limiter les écrans : idéalement, les couper une demi-heure à une heure avant le coucher.
  4. Bouger en journée : une activité physique régulière, même modérée, favorise un meilleur sommeil réparateur.
  5. Soigner l’alimentation du soir : privilégier des repas légers, éviter les excitants comme le café, le thé ou les sodas, et limiter les sucres rapides.

Quand le sommeil reste difficile…

Si malgré tout, les troubles persistent, il est important de ne pas les banaliser. Un adolescent qui ne parvient pas à s’endormir ou qui se réveille souvent la nuit accumule une dette de sommeil qui peut avoir des conséquences sur sa santé et ses résultats scolaires. Dans ces cas, un accompagnement personnalisé peut être utile pour identifier les causes profondes : stress, anxiété, mauvaises habitudes, déséquilibres physiologiques… ou parfois simplement un besoin de vermifugation.

Le rôle du sommeil dans l’équilibre de vie

Le sommeil est la base sur laquelle se construit l’équilibre quotidien. Il ne s’agit pas seulement de dormir plus longtemps, mais de dormir mieux. Un sommeil réparateur n’est pas mesuré uniquement en heures, mais en qualité : endormissement facile, nuit paisible, réveil sans lourdeur.

En aidant nos enfants et adolescents à retrouver un sommeil de qualité, nous leur donnons les moyens d’affronter la rentrée avec plus de sérénité, de concentration et d’énergie.


Conclusion :
Le sommeil n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Retrouver un sommeil réparateur après la rentrée, c’est investir dans la réussite scolaire, la santé et le bien-être de nos jeunes. Et n’oubliez pas : si vous voulez de l’aide, contactez-moi sur labyrinthe-kinésiologie.fr.

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kinésiologie et émotions :femme assise avec mal de dos

La kinésiologie et émotions : quand les émotions pèsent sur le corps

kinésiologie et émotions :femme assise avec mal de dos
kinésiologie et émotion

Nous avons souvent tendance à croire que nos douleurs physiques viennent uniquement d’un faux mouvement, d’une mauvaise posture ou d’un excès d’efforts. Pourtant, dans bien des cas, nos tensions corporelles trouvent leur origine dans des conflits émotionnels profonds. La kinésiologie et émotions se rencontrent alors pour révéler ce que le corps n’arrive plus à exprimer autrement.

Il y a quelque temps, une patiente est venue me voir pour une douleur lancinante dans le bas du dos. Rien ne semblait la soulager. Mais derrière cette douleur, son histoire personnelle était lourde : depuis cinq ans, elle accueille par intermittence un jeune de 18 ans atteint de psychose. Elle l’accompagne, le protège, et lui offre une stabilité que peu de personnes ont su lui donner. La veille de la séance, ce jeune avait terminé un nouveau séjour chez elle. Et même si l’épisode s’achevait, elle n’arrivait pas à se défaire du sentiment d’être responsable de lui, malgré l’épuisement que cela représentait. la kinésiologie et émotions ont pu la soulager alors de ce mal au dos.

Le poids invisible de la responsabilité

Le bas du dos est souvent symboliquement associé au poids des responsabilités. Porter trop de charges émotionnelles, se sentir obligé de soutenir quelqu’un, ou ne plus oser poser ses limites peut créer des tensions physiques persistantes. Chez ma patiente, le lien entre la douleur et son vécu était évident : elle se sentait coincée entre son attachement à ce jeune adulte et la conscience qu’elle n’avait plus la force de l’accompagner.

C’est dans ces situations que la kinésiologie et émotions interagissent puissamment. Le test musculaire, utilisé comme un langage avec le corps, permet de mettre en lumière des blocages inconscients, souvent enfouis. Dans son cas, dès le début, un manque d’eau a été identifié. Mais ce n’était pas un simple besoin physiologique : le corps signalait un déséquilibre plus profond, lié à une surcharge émotionnelle.

Quand les émotions s’expriment par le corps

Au fur et à mesure de la séance, des thèmes précis sont apparus :

  • La peur de la responsabilité : ce sentiment de devoir porter seule un fardeau trop lourd.
  • Une polarisation excessive sur le mental : rester dans le contrôle permanent, au détriment de l’écoute de soi.
  • Un manque de vision claire : l’incapacité à voir avec lucidité qu’elle ne pouvait plus assumer ce rôle sans s’épuiser.

C’est ici que la kinésiologie et émotions se rejoignent pour créer une véritable libération. Lorsqu’elle a pris conscience de ces blocages, ma patiente a fondu en larmes. L’émotion qu’elle retenait depuis longtemps a enfin trouvé un espace pour s’exprimer. Et dans cette libération, un changement immédiat est apparu : ses muscles se sont relâchés, sa respiration s’est apaisée… et sa douleur au dos a disparu.

Retrouver un équilibre grâce à la kinésiologie

La séance a permis de transformer une douleur physique en prise de conscience. La kinésiologie et émotions forment un duo essentiel : en révélant les tensions cachées, elles offrent au corps la possibilité de relâcher ce qu’il n’arrivait plus à gérer.

Ce cas illustre parfaitement le principe selon lequel chaque douleur a un message. Le bas du dos, ici, rappelait que ma patiente portait une charge trop lourde, qu’elle devait apprendre à poser des limites et à écouter ses propres besoins. En retrouvant cette lucidité, elle a ressenti à la fois un apaisement émotionnel et un soulagement physique.

Conclusion : écouter son corps pour libérer ses émotions avec la kinésiologie et émotions

La kinésiologie ne remplace pas un suivi médical, mais elle offre un éclairage unique : comprendre que derrière chaque tension, chaque douleur, se cache parfois une émotion non exprimée. Le corps, lorsqu’il est écouté, devient un allié précieux pour retrouver bien-être et sérénité.

La kinésiologie et émotions sont intimement liées. En accueillant ce que le corps exprime, chacun peut avancer vers un équilibre plus harmonieux, allégeant à la fois son mental et son corps.

pour prendre rendez-vous pour me contacter

La kinésiologie animale par transfert avec labyrinthe-kinésiologie La Réole et Guy-Arnaud Pénet kinésiologue en adaptogénèse

Kinésiologie animale par transfert : une méthode surprenante et puissante pour aider les animaux.

La kinésiologie animale par transfert avec labyrinthe-kinésiologie La Réole et Guy-Arnaud Pénet kinésiologue en adaptogénèse
La kinésiologie animale par transfert

La kinésiologie animale par transfert est une méthode douce, subtile et profondément respectueuse du vivant. Elle s’adresse tout particulièrement aux animaux qu’on ne peut pas tester directement : les très jeunes, les très âgés, les malades, ou ceux qui refusent tout contact physique. Grâce à un principe simple et efficace — le transfert —, il devient possible d’écouter ce que leur corps a à dire, même sans les toucher, même sans les forcer.

En kinésiologie, nous utilisons le test musculaire comme outil de dialogue avec le corps. Ce test consiste à observer une légère variation du tonus musculaire face à des stimulations, des mots ou des intentions. Il permet de révéler des déséquilibres énergétiques, émotionnels ou posturaux.

Mais chez l’animal, ce test est rarement applicable directement. Un chien ne peut pas tendre son bras, un cheval ne peut pas maintenir une posture stable sur commande, et un chat ne se prête pas volontiers à l’exercice… C’est là que la kinésiologie animale par transfert prend tout son sens.

Le transfert repose sur un principe énergétique : on crée un lien temporaire entre l’animal et une autre personne — généralement son maître. Ce lien se fait par contact : le maître pose une main sur son animal, ou le tient dans les bras. À ce moment-là, il devient le relai du système énergétique de l’animal. C’est lui qui est testé par le kinésiologue, mais les réponses obtenues concernent bien l’animal.

Grâce à cette technique, on peut identifier des tensions posturales, des blocages émotionnels, des déséquilibres énergétiques ou des réflexes non intégrés — exactement comme lors d’une séance classique. Et lorsque des corrections sont nécessaires (par exemple, des stimulations sur des points d’acupression), elles sont réalisées sur l’animal lui-même, si cela est possible et confortable pour lui.

Il est important de distinguer le transfert par contact, qui est privilégié pour sa fiabilité et sa précision, du transfert sans contact, utilisé plus rarement, par exemple à distance. Ce dernier repose sur une connexion plus subtile, souvent moins stable. En cabinet, le contact physique — même léger — reste la méthode la plus efficace.

La kinésiologie animale par transfert permet aussi d’accompagner des animaux très sensibles, qui ont vécu des traumatismes, ou qui sont atteints de troubles du comportement. En s’appuyant sur la qualité du lien entre l’animal et son humain, elle respecte le rythme de chacun, sans forcer, sans imposer.

Ce travail peut même parfois faire émerger des résonances entre le maître et son animal. Le transfert met en lumière cette connexion profonde qu’ils partagent. C’est souvent un moment émouvant, libérateur, et profondément réparateur.

En résumé, la kinésiologie animale par transfert offre une porte d’entrée vers l’équilibre, même dans les situations où le test classique est impossible. Elle élargit le champ d’action de la kinésiologie et permet d’honorer le vivant dans toute sa sensibilité.

La kinésiologie ne traite pas le symptôme, mais augmente l’énergie vitale de l’animale afin que celui-ci puisse recruter son énergie de guérison intérieure.

Travail effectué en kinésiologie animale

(Durée de travail : 2h scindable en deux séances)

Réintégration des instincts par la kinésiologie animale par transfert

Instinct de conservation
Instinct de sacrifice
Instinct de secour
Instinct de reproduction
Instinct d’amour de soi
Instinct de séduction
Instinct de plaisir
Instinct de réparation
Instinct protecteur
Instinct de découverte

Les 8 tibétains par la kinésiologie animale par transfert

Réintégration des réflexes par la kinésiologie animale par transfert

De survie
D’avoir un territoire à soi
De faire son nid
De se défendre contre un prédateur
De chasser
De procréer
Postural
De baillement
Du soupir
De trouver sa place dans le clan
De protéger sa descendance
D’assurer sa sécurité
De protéger le clan
De liberté de mouvement
D’évitement de la douleur
De pandiculation
De double bind lutte/fuite
De MORO

Les émotions par la kinésiologie animale par transfert

Défusion émotion cause et conséquence chez l’animal

Défusion chez l’humain de l’émotion potentiellement pathogène pour l’animal

Corrections des méridiens par la kinésiologie animale par transfert

Corrections structurelles par la kinésiologie animale par transfert

C1/C2Pompe crânio-sacréeDure-mèreCorrections crâniennesCorrections vertébrales

Corrections organiques détectables par les vertèbres par la kinésiologie animale par transfert

Les élixirs floraux par la kinésiologie animale par transfert

Les minéraux par la kinésiologie animale par transfert

Correction par les runes par la kinésiologie animale par transfert

Si vous souhaitez en savoir plus sur cette méthode ou proposer un accompagnement à votre compagnon à quatre pattes, je vous invite à visiter mon site :
👉 labyrinthe-kinésiologie.fr

autres liens CNRS : les animaux : êtres sensibles

Énurésie chez l'enfant avec labyrinthe-kinésiologie, Guy-Arnaud Pénet La réole

L’énurésie chez l’enfant avec l’outil magique de la kinésiologie

Énurésie chez l'enfant avec labyrinthe-kinésiologie, Guy-Arnaud Pénet La réole
Énurésie chez l’enfant

Bonjour à toutes et à tous,
Parmi les situations fréquentes que je rencontre en cabinet, il y a celle-ci : un enfant de 6 ou 7 ans qui n’est pas encore propre — que ce soit de jour, de nuit, ou les deux. Ce symptôme, souvent associé à l’énurésie chez l’enfant, ou peut être une vraie source d’inquiétude.

C’est une problématique délicate, souvent source de stress, de honte ou de tension familiale. Les parents se demandent : « Est-ce normal ? Est-ce de notre faute ? Est-ce qu’il le fait exprès ? » Et pourtant, l’énurésie chez l’enfant (pipi au lit) ou l’encoprésie (selles involontaires) mérite avant tout une écoute bienveillante et sans jugement.

Ce que l’énurésie peut exprimer

En kinésiologie, nous partons du principe que le corps peut parler à la place de l’enfant, quand celui-ci ne sait pas, ne peut pas ou n’ose pas dire ce qu’il ressent. Quand un enfant continue à faire pipi au lit alors qu’on attend de lui qu’il soit propre, cela peut être le signal qu’un stress émotionnel, une insécurité, ou une mémoire ancienne cherche à s’exprimer autrement.

Plutôt que de corriger uniquement le symptôme, il est parfois plus pertinent d’en chercher le sens caché.

Les grandes causes émotionnelles de l’énurésie chez l’enfant

🔹 1. Le besoin de sécurité

Un enfant peut se sentir insécurisé sans savoir comment l’exprimer. Cela peut venir :

  • d’un déménagement,
  • d’une séparation parentale,
  • de tensions à la maison,
  • ou de l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur.

Dans ce contexte, l’énurésie peut devenir un retour symbolique à un stade infantile, une tentative de retrouver la sécurité et l’attention.

🔹 2. Le conflit de territoire

Chez l’animal, uriner marque le territoire. Chez l’enfant, le corps peut faire de même symboliquement :

  • il ne se sent pas à sa place (nouvelle maison, chambre partagée, arrivée d’un tiers),
  • ou au contraire, il n’ose pas prendre sa place, ne se sent pas légitime.

L’énurésie chez l’enfant devient alors un marqueur d’identité ou une protestation silencieuse.

🔹 3. La difficulté à lâcher prise

Les enfants perfectionnistes, hyper-réservés ou sensibles ont souvent du mal à exprimer leurs émotions. L’énurésie devient un « trop-plein » qui s’évacue malgré eux.
Ils ne maîtrisent pas forcément leurs émotions… donc pas non plus leurs sphincters.

🔹 4. Une réponse à une pression

Si l’apprentissage de la propreté a été associé à des attentes fortes, des critiques ou des humiliations, l’enfant peut inconsciemment résister à ce qu’on lui demande. Le corps devient son mode d’expression pour dire :

« C’est trop pour moi, je n’y arrive pas comme ça. »

Et les causes physiologiques dans tout ça ?

Il est fondamental de ne pas négliger les causes médicales possibles de l’énurésie chez l’enfant, en particulier lorsqu’elle perdure au-delà de 5 ou 6 ans.

Voici quelques pistes physiologiques :

  • Immaturité de la vessie : le réflexe de contrôle n’est pas encore bien intégré.
  • Production excessive d’urine la nuit (polyurie nocturne) : souvent liée à un manque de sécrétion de l’hormone antidiurétique.
  • Troubles du sommeil : certains enfants dorment si profondément qu’ils ne ressentent pas le besoin d’uriner.
  • Constipation chronique : elle peut comprimer la vessie et perturber son bon fonctionnement.
  • Infections urinaires, malformations anatomiques ou troubles neurologiques rares.

Un bilan médical est toujours recommandé pour écarter une cause organique, surtout en cas de régression soudaine ou de douleurs associées.

Ce que propose la kinésiologie

Une fois les causes médicales écartées ou prises en charge, la kinésiologie peut aider à :

✔️ Explorer les stress émotionnels non exprimés,
✔️ Libérer les mémoires corporelles,
✔️ Redonner à l’enfant confiance en lui et en son corps,
✔️ Apaiser les tensions familiales liées à la propreté.

Grâce au test musculaire, je travaille avec l’enfant dans le respect de son rythme et de ses besoins. On ne force rien : on écoute.

Envie d’un accompagnement doux et respectueux ?

Si vous vous sentez seuls, perdus, ou si vous souhaitez un regard complémentaire sur la situation de votre enfant, je vous accueille à La Réole, dans un cadre sécurisant.

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📩 Contactez-moi si vous avez besoin de soutien

A voir aussi : Enurésie nocturne

posture assise avec labyrinthe-kinésiologie La réole Guy-Arnaud Pénet

Posture assise : 5 gestes formidable pour boostez votre posture assise

Article inspirée de la chronique RE2M : posture assise

posture assise avec labyrinthe-kinésiologie La réole Guy-Arnaud Pénet
posture assise

Après plusieurs heures passées derrière un écran, en posture assise votre corps réclame naturellement un peu d’attention. Les muscles se raidissent, la circulation sanguine ralentit, et un simple faux mouvement peut déclencher une douleur cervicale ou lombaire. Pour prévenir ces inconforts, il est essentiel de relancer la dynamique musculaire et articulaire dès que vous quittez votre chaise. Voici une série d’exercices ciblés, conçus pour améliorer la posture assise et préserver votre bien-être au quotidien.

1. Assouplissement du psoas (45 s)

Le psoas, puissant fléchisseur de la hanche, se contracte fortement en position statique. Une tension excessive peut déséquilibrer la colonne lombaire et aggraver votre posture assise.

En position de l’égyptien, poings fermés bras croisés sur le buste, bras gauche au dessus. Effectuer des huit parallèle dans le sens avant/arrière avec le bassin.

Recommencer de l’autre coté en pivotant sur ses pieds sans bouger les bras collés à la poitrine.

libération du psoas-posture assise

2. Bascule du bassin (1 min)

Cet exercice mobilise chaque vertèbre lombaire pour relâcher les tensions accumulées en position assise.

  • Mettez vos main sur les hanches
  • Basculer le bassin vers l’avant en respiration libre, puis vers l’arrière

Répétez 10 fois la bascule : cambrer puis arrondir la zone lombaire, en veillant à garder épaules et tête droite.
Ce mouvement réactive la proprioception et renforce les muscles stabilisateurs, essentiels pour soutenir une bonne posture assise. Il améliore également la circulation locale et prépare votre dos à reprendre sa forme naturelle.

bascule du bassin

3. Assouplissement du diaphragme (1 min)

L’assouplissement du diaphragme ouvre le thorax, et détend vos épaules pour améliorer la posture assise.

  • Gonfler le ventre en inspirant
  • Bloquer la respiration
  • masser en miroir avec 2 doigts deux points de part et d’autre de l’atlas. (doigts de la main droite en sens horaire, de la main gauche en sens anti-horaire)
asouplissement du diaphragme

4. Assouplissement des rotateurs du cou (1 min)

Pour relâcher les chaînes musculaires postérieures du cou :

  • Main gauche paume vers le ciel dans le dos
  • Main droite à plat paume vers le haut (un verre imaginaire posé dessus)
  • Effectuer une rotation vers la droite conduite par la main et le regard
  • Ala fin de la rotation, inverser les mains et repartir à gauche.
  • Faire 6 répétitions
assouplissement des rotateur du cou

5. Mobilisation cervicale « oui / non / oiseau » (1 min)

Le cou supporte le poids de la tête et subit des contraintes en position statique :

  1. « Oui » (flexion-extension) : menton vers la poitrine puis tête en arrière – 5 répétitions.
  2. « Non » (rotation) : regard à droite puis à gauche – 5 répétitions.
  3. « Oiseau » (inclinaison latérale) : oreille droite vers l’épaule, puis côté gauche – 5 répétitions.
    Chaque mouvement doit rester lent et contrôlé, en maintenant le regard à l’horizontale pour stabiliser l’axe cervical.

Conseils pour ancrer ces réflexes

  • Régularité : réalisez ce circuit à chaque pause de 45 minutes pour casser la position statique et optimiser votre posture assise.
  • Hydratation : buvez de l’eau régulièrement pour soutenir la lubrification des articulations et la circulation sanguine.
  • Conscience corporelle : soyez attentif·ve à vos ressentis (tiraillements, zones de confort) et ajustez l’amplitude en conséquence.
  • Ambiance : mettez un minuteur ou une alarme discrète pour ne pas oublier votre mini-séance.

En intégrant ces cinq exercices dans votre routine, vous réduirez significativement les risques liés à une mauvaise posture assise, améliorerez votre circulation sanguine, et retrouverez plus de confort et de concentration au bureau ou à la maison. En seulement 5 minutes, vous pouvez relancer votre énergie, libérer les tensions et préparer votre corps pour la suite de vos activités.

Et si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas : labyrinthe-kinesiologie.fr

L'idiosyncrasie en kinesiologie avec labyrinthe-kinesiologie Guy-Arnaud Pénet La reole

Quand le corps change d’avis : l’idiosyncrasie en kinésiologie, phénomène incroyable!

article issue de la chronique RE2M : L’idiosyncrasie en kinésiologie

L'idiosyncrasie en kinesiologie avec labyrinthe-kinesiologie Guy-Arnaud Pénet La reole
L’idiosyncrasie en kinesiologie

Quand le corps change de cap : l’idiosyncrasie en kinésiologie à l’œuvre

(Pourquoi la séance que vous demandez n’est pas toujours celle que votre organisme choisit)


Dans l’univers fascinant de la idiosyncrasie en kinésiologie, il existe un phénomène que tout praticien a déjà observé : le corps profite parfois d’une séance prévue pour un objectif précis afin de corriger un tout autre déséquilibre, souvent plus ancien, plus profond ou jugé prioritaire. C’est un rappel vibrant de notre singularité : chaque organisme possède son propre langage et sa propre hiérarchie de besoins.

1. Définir l’idiosyncrasie en kinésiologie

Le terme idiosyncrasie en kinésiologie décrit la réponse personnelle, souvent imprévisible, qu’un individu manifeste lors d’un rééquilibrage énergétique. Là où la médecine classique parle d’hypersensibilités ou de réactions atypiques, la kinésiologie y voit l’intelligence innée du corps : une capacité à aller là où le stress est le plus verrouillé, même si la conscience n’a pas identifié ce lieu-clé.

2. Le protocole… et l’effet surprise

En séance, le praticien suit quatre étapes :

  1. Tester la fiabilité musculaire : avant toute chose, il interroge un muscle de référence. Si la réponse est stable, le dialogue corps-praticien est fiable. Il peut donc commencer à interroger le corps du compagnon.
  2. Montrer les déséquilibres : grâce à des tests spécifiques, on révèle les circuits en stress.
  3. Corriger : par des techniques de reprogrammation énergétique (acupression, mouvements oculaires, affirmations).
  4. Retester : on refait les mêmes tests que dans la phase 2 ; si le muscle tient, c’est que l’ajustement est accepté. Ce dernier test permet un biofeedback pour que le corps mémorise la correction.

C’est précisément lors de ces quatre temps que l’idiosyncrasie kinésiologie peut se manifester : on ouvre une porte, et le corps y voit le moment idéal pour libérer une chaîne de tensions annexes n’ayant aucun rapport avec ce qui est travaillé..

3. Histoire vécue

Clémence, 34 ans, consulte pour apaiser des tensions conjugales. L’objectif annoncé est clair : « retrouver la douceur dans mon couple ». Nous passons les quatre étapes, la séance se conclut sur un test musculaire fort. Deux semaines plus tard, Clémence téléphone : « Nos échanges sont déjà plus sereins… mais surtout, moi qui étais insomniaque depuis l’enfance, je dors douze heures d’affilée ! » Ce n’était pas l’objet de la séance, mais son corps a profité de la démarche pour lever un verrou crucial. Voilà une idiosyncrasie en kinésiologie typique : changement inattendu, mais parfaitement cohérent pour l’équilibre global.

4. Pourquoi le corps agit-il ainsi ?

  • Hiérarchisation interne : le système nerveux sait qu’un traumatisme ancien (ici, l’insomnie) consomme plus d’énergie qu’un conflit conjugal récent.
  • Effet domino : soulager une émotion aiguë libère de la place pour que d’autres circuits se rééquilibrent.
  • Principe d’autoguérison : dès qu’une ouverture se crée, le corps la saisit pour harmoniser tout ce qui entrave sa vitalité.

L’idiosyncrasie kinésiologie nous rappelle que le corps pense en couches imbriquées, pas en fiches indépendantes.

5. Ma question rituelle de fin de séance

Depuis ces expériences, je termine chaque rencontre par : « En dehors de l’objectif travaillé, percevez-vous un autre changement ? » Les réponses étonnent : digestion apaisée, migraines disparues, créativité retrouvée. Encore une preuve que l’idiosyncrasie kinésiologie est un compagnon discret mais puissant.

6. Ce qu’il faut retenir

  • Le concept d’idiosyncrasie kinésiologie décrit la liberté qu’a le corps d’utiliser une séance pour rééquilibrer ce qu’il juge prioritaire.
  • Les quatre étapes (tester, montrer, corriger, retester) sécurisent le processus et offrent un biofeedback positif qui ancre la correction.
  • Poser la bonne question en fin de séance permet de mesurer l’ampleur réelle des bienfaits et de respecter l’intelligence corporelle.

Alors, la prochaine fois que vous sortirez d’une séance, restez à l’écoute : l’idiosyncrasie kinésiologie pourrait bien vous avoir offert un cadeau supplémentaire, que vous n’aviez même pas pensé à demander.

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