L'idiosyncrasie en kinesiologie avec labyrinthe-kinesiologie Guy-Arnaud Pénet La reole

Quand le corps change d’avis : l’idiosyncrasie en kinésiologie, phénomène incroyable!

article issue de la chronique RE2M : L’idiosyncrasie en kinésiologie

L'idiosyncrasie en kinesiologie avec labyrinthe-kinesiologie Guy-Arnaud Pénet La reole
L’idiosyncrasie en kinesiologie

Quand le corps change de cap : l’idiosyncrasie en kinésiologie à l’œuvre

(Pourquoi la séance que vous demandez n’est pas toujours celle que votre organisme choisit)


Dans l’univers fascinant de la idiosyncrasie en kinésiologie, il existe un phénomène que tout praticien a déjà observé : le corps profite parfois d’une séance prévue pour un objectif précis afin de corriger un tout autre déséquilibre, souvent plus ancien, plus profond ou jugé prioritaire. C’est un rappel vibrant de notre singularité : chaque organisme possède son propre langage et sa propre hiérarchie de besoins.

1. Définir l’idiosyncrasie en kinésiologie

Le terme idiosyncrasie en kinésiologie décrit la réponse personnelle, souvent imprévisible, qu’un individu manifeste lors d’un rééquilibrage énergétique. Là où la médecine classique parle d’hypersensibilités ou de réactions atypiques, la kinésiologie y voit l’intelligence innée du corps : une capacité à aller là où le stress est le plus verrouillé, même si la conscience n’a pas identifié ce lieu-clé.

2. Le protocole… et l’effet surprise

En séance, le praticien suit quatre étapes :

  1. Tester la fiabilité musculaire : avant toute chose, il interroge un muscle de référence. Si la réponse est stable, le dialogue corps-praticien est fiable. Il peut donc commencer à interroger le corps du compagnon.
  2. Montrer les déséquilibres : grâce à des tests spécifiques, on révèle les circuits en stress.
  3. Corriger : par des techniques de reprogrammation énergétique (acupression, mouvements oculaires, affirmations).
  4. Retester : on refait les mêmes tests que dans la phase 2 ; si le muscle tient, c’est que l’ajustement est accepté. Ce dernier test permet un biofeedback pour que le corps mémorise la correction.

C’est précisément lors de ces quatre temps que l’idiosyncrasie kinésiologie peut se manifester : on ouvre une porte, et le corps y voit le moment idéal pour libérer une chaîne de tensions annexes n’ayant aucun rapport avec ce qui est travaillé..

3. Histoire vécue

Clémence, 34 ans, consulte pour apaiser des tensions conjugales. L’objectif annoncé est clair : « retrouver la douceur dans mon couple ». Nous passons les quatre étapes, la séance se conclut sur un test musculaire fort. Deux semaines plus tard, Clémence téléphone : « Nos échanges sont déjà plus sereins… mais surtout, moi qui étais insomniaque depuis l’enfance, je dors douze heures d’affilée ! » Ce n’était pas l’objet de la séance, mais son corps a profité de la démarche pour lever un verrou crucial. Voilà une idiosyncrasie en kinésiologie typique : changement inattendu, mais parfaitement cohérent pour l’équilibre global.

4. Pourquoi le corps agit-il ainsi ?

  • Hiérarchisation interne : le système nerveux sait qu’un traumatisme ancien (ici, l’insomnie) consomme plus d’énergie qu’un conflit conjugal récent.
  • Effet domino : soulager une émotion aiguë libère de la place pour que d’autres circuits se rééquilibrent.
  • Principe d’autoguérison : dès qu’une ouverture se crée, le corps la saisit pour harmoniser tout ce qui entrave sa vitalité.

L’idiosyncrasie kinésiologie nous rappelle que le corps pense en couches imbriquées, pas en fiches indépendantes.

5. Ma question rituelle de fin de séance

Depuis ces expériences, je termine chaque rencontre par : « En dehors de l’objectif travaillé, percevez-vous un autre changement ? » Les réponses étonnent : digestion apaisée, migraines disparues, créativité retrouvée. Encore une preuve que l’idiosyncrasie kinésiologie est un compagnon discret mais puissant.

6. Ce qu’il faut retenir

  • Le concept d’idiosyncrasie kinésiologie décrit la liberté qu’a le corps d’utiliser une séance pour rééquilibrer ce qu’il juge prioritaire.
  • Les quatre étapes (tester, montrer, corriger, retester) sécurisent le processus et offrent un biofeedback positif qui ancre la correction.
  • Poser la bonne question en fin de séance permet de mesurer l’ampleur réelle des bienfaits et de respecter l’intelligence corporelle.

Alors, la prochaine fois que vous sortirez d’une séance, restez à l’écoute : l’idiosyncrasie kinésiologie pourrait bien vous avoir offert un cadeau supplémentaire, que vous n’aviez même pas pensé à demander.

Labyrinthe-kinesiologie.fr

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