Le tonus musculaire s’affaiblit dès que quelque chose nous perturbe :
- Sur-stress
- Mobilisation d’énergie pour gérer le stress
- Baisse de l’énergie disponible pour le fonctionnement du corps
- Baisse du tonus des muscles
=> Mise au point du test musculaire kinésiologique
C’est un outil qui permet de :
- Identifier la meilleure solution pour régler ces déséquilibres
- Identifier les obstacles à la libre circulation de l’énergie dans l’ensemble corps/cerveau
- Informer le corps sur ce qui le déséquilibre, ce qui le renforce : «bio-feedback» (rétroaction)
- Un outil qui mesure non pas la force mais le niveau d’énergie dans le muscle
- Un outil qui a des limites : c’est un instrument d’identification de réponses « stress/non stress » à un instant T différent d’une boule de cristal.
- Un outil qui demande des précautions préalables (« prétests ») pour garantir sa fiabilité => « test musculaire de précision ».
- Un outil reconnu, commun à tous les kinésiologues, aujourd’hui également utilisé par d’autres professions (dentistes, posturologues, ostéopathes, etc)
Grâce au test musculaire :
le kinésiologue « interroge » le corps pour identifier des blocages, des contraintes mécaniques, des restrictions de mouvements, des stress émotionnels, etc., afin de les libérer.
Cependant, on ne peut réduire la kinésiologie à la seule utilisation du test musculaire, de même qu’il serait grotesque de réduire le champ du savoir médical à la simple prise de tension artérielle ou à la mesure de la température.
Si le test musculaire est l’instrument du kinésiologue pour mettre en évidence certains déséquilibres et trouver les corrections les plus pertinentes, la kinésiologie est bien plus que cela. Chaque courant a développé sa propre vision et ses propres moyens d’investigation et de correction. Ceux-ci résultent, la plupart du temps, de l’intégration couplée des connaissances venant de l’anatomie et de la physiologie occidentale avec l’énergétique chinoise.